Bon, moi aussi j’ai hâte qu’on me lâche avec la retraite. Au rythme actuel des choses je pense qu’on à tous compris qu’on allait crever sur nos chaises de bureau à 88 ans.
Je bifurque sur le constat que : Work doesn’t work. Le niveau de taxation et le revenu que tu dégage NET et une fois que les taxes de consommation t’ont passé dessus est risible. Même si tu t’entasses dans un 1 et demi et que tu mange des ramen chaque jour : tu en aura jamais assez pour arrêter de travailler un jour. Tout coute juste trop cher.
Il faut apprendre à dégager du revenu passif, investir à petit feu etc.
Oui pour l’indépendance financière.
]]>À chacune de ces étapes, il y a plus de choix, de liberté et moins de stress. C’est vraiment un plus sur la qualité de vie au quotidien.
C’est aussi beaucoup plus motivant et concret de morceler cet objectifs en étapes. Ce n’est pas un tout ou rien avec un grand vide au milieux.
Ça vaut bien plus pour moi que des biens de consommation. 🙂
Félicitation! C’est un bel objectif!
]]>Merci le Jeune retraité! Je crois que le concept d’indépendance financière prend effectivement différente avenue selon les individus. Moi aussi c’est surtout le Rat Race que je cherche à quitter, mais pas pour me retirer du monde corporatif.
Ce que j’aime avec ce concept c’est que bien qu’il utilise les mêmes outils, il peut revêtir autant de facettes selon les individus. Alors que la retraite est un projet assez monolithique qui ne s’adapte pas à la réalité ou aux envies de chacun. Contrairement aux Boomers, je crois que les Millénniaux sont beaucoup moins homogènes et l’indépendance financière est un concept qui permet à tous de trouver sa propre formule. Si c’est prendre sa retraite à 55ans, soite. Mais cela peut être TELLEMENT d’autre chose. À chacun de trouver sa voie.
Kudos pour l’entrevue à l’Indice McSween!
]]>Je découvre ce site avec grand plaisir. La qualité de la rédaction est hors du commun. Bravo!
Je comprends que la retraite, dans le sens traditionnel du terme, soit un concept poussiéreux. Quand j’ai annoncé à mes parents que je prenais ma retraite (à 39 ans), la déception était lisible dans leurs visages. Pour les « baby-boomers » la retraite signifie perdre son identité, son standing social et même sa raison d’exister. C’est la fin du monde!
Or, quand je parle de retraite, je parle surtout de mon retrait du « rat race » (métro-boulot-dodo). La liberté financière était, en fait, le réel objectif. La retraite du monde corporatif est la résultante de ma nouvelle liberté. En fait, ma vie est aussi active (sinon plus) qu’avant. Seule différence, je n’ai plus l’obligation de générer un revenu.
Ceci dit, je pense que les milléniaux voient la liberté financière d’un oeil bien différent. Pour eux, l’objectif n’est pas nécessairement d’être financièrement indépendant pour le restant de leur vie. Ça peut se manifester par une année sabbatique, un voyage autour du monde, un emploi à temps partiel, le démarrage d’une entreprise, etc.
À chacun sa route! Par contre, l’objectif reste le même, la liberté.
À la prochaine!
]]>J’ai bien votre façon de voir (et d’expliquer) les concepts de retraite et d’indépendance financière.
Moi aussi, je n’épargne pas pour la retraite, mais plutôt pour atteindre l’indépendance financière. Je devrais atteindre cet objectif à 45 ans ou avant.
Au plaisir.
Retraite101