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Placement Archives - Se Payer En Premier https://www.sepayerenpremier.com/tag/placement/ Le blog des finances personnelles pour les Milléniaux Wed, 04 Apr 2018 04:48:02 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.2 https://i0.wp.com/www.sepayerenpremier.com/wp-content/uploads/2018/02/cropped-Icone-site-web-Feb2018.jpg?fit=32%2C32&ssl=1 Placement Archives - Se Payer En Premier https://www.sepayerenpremier.com/tag/placement/ 32 32 111249166 Les obligations d’épargne du gouvernement? Non merci. Il y a mieux! https://www.sepayerenpremier.com/obligations-du-gouvernement-non-merci/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=obligations-du-gouvernement-non-merci https://www.sepayerenpremier.com/obligations-du-gouvernement-non-merci/#comments Sat, 30 Jul 2016 13:15:31 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=415 On a parfois besoin de trouver un refuge sécuritaire pour son argent. Mais avec les taux d’intérêt tellement faibles, moins l’inflation, notre argent en sécurité dans des obligations perd en fait de la valeur tous les jours. Voyons où on peut trouver des obligations plus payantes, mais quand même sécuritaires. [...]

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On a parfois besoin de trouver un refuge sécuritaire pour son argent. Mais avec les taux d’intérêt tellement faibles, moins l’inflation, notre argent en sécurité dans des obligations perd en fait de la valeur tous les jours. Voyons où on peut trouver des obligations plus payantes, mais quand même sécuritaires.

L’époque des faibles taux d’intérêts

Nous sommes dans un cycle économique où la croissance est relativement anémique en Occident. Afin de stimuler l’investissement (entre autres) les gouvernements ont alors maintenu, ou poussé, leurs taux directeurs vers des planchers historiques. La Banque du Canada affiche un taux dérisoire de 0,5%. Des pays comme la Suisse, le Danemark ou le Japon possèdent même des taux directeurs négatifs. Des gens paient pour prêter leur argent! Sérieux.

Le bon côté c’est lorsque vient le temps d’aller négocier son hypothèque. Je suis convaincu que vous avez du être bien content de voir le taux que votre banque ou votre caisse vous offrait. Comparé aux 8-10-12% que nos parents payaient, il y a de quoi se réjouir. Et il y a encore de la place à la négociation malgré tout! En tirant l’oreille à ma caisse, ma courtière hypothécaire est même allée nous chercher un taux de 2%! Une perle qui a fait la différence. Je dois l’avouer, mon père était jaloux.

Des gens paient pour prêter leur argent! Sérieux.

Ceci dit, c’est bien le fun quand on négocie son hypothèque, ou un prêt personnel, mais le plaisir s’arrête pas mal ici. Pourquoi? Parce que les rendements des placements sécuritaires, dont les fameuses obligations d’épargne du gouvernement, ne rapportent pratiquement plus rien. Leurs taux d’intérêt souvent plus faibles que l’inflation font en sorte que l’argent que l’on y place perd de la valeur au net. Chaque. Jour. C’est un désastre pour beaucoup de portefeuilles, particulièrement les fonds de pension, dont certains sont légalement tenus de détenir des obligations. Les faibles taux d’intérêt pour stimuler l’économie ont comme effet indirect de mettre une pression énorme sur ces fonds et leurs épargnants.

Pourquoi posséder des obligations?

Bien franchement, il n’y a vraiment pas beaucoup de raisons aujourd’hui pour notre génération.

C’est pour cela que je maintiens très peu de capital dans des placements sécuritaires, comme les obligations. À 33 ans, avec un horizon de placement de plus de 15 ans, les actions et les fonds négociés en bourse sont mes meilleurs amis. Je n’ai pas les moyens de mettre 20-30-40% de mon portefeuille dans des rendements à la limite de l’inflation. Je suis donc majoritairement exposé aux équités.

L’adage que l’on connaît par coeur, qui veut qu’un portefeuille équilibré soit 40% Revenus fixes :: 60% Actions, est aujourd’hui largement obsolète. Surtout pour notre génération qui a tout le temps devant elle pour investir en bourse l’esprit tranquille. C’était bien le fun dans les années ’80-’90, mais là ça ne fonctionne plus. Si vous cherchez à obtenir 8% de rendement dans votre portefeuille en moyenne et que les obligations vous offrent 1% après les frais, vos actions devront produire 12,6% de rendement, après les frais. Année après année. Bonne chance! Vous croyez que c’est possible que vos actions vous donnent ce rendement? Pourquoi alors détenir des obligations?

Je n’ai pas les moyens de mettre 20-30-40% de mon portefeuille dans des rendements à la limite de l’inflation. Je suis donc majoritairement exposé aux équités.

Mais bon, on a tout de même toujours une partie de notre portefeuille que l’on voudrait conserver à l’abri des fluctuations boursières à court terme. Que ce soit pour la mise de fonds prochaine d’une maison, l’argent de la prochaine auto à remplacer, un fond d’urgence, le capital REEE quand nos enfants approchent de la fin du secondaire, etc. Moi je les utilise surtout comme compléments à mes liquidités quand les marchés commencent à être surévalués. Communément appelé le cash position. Quand les obligations ressemblent presque à un cash position, ça donne une assez bonne idée du pathétisme des taux d’intérêt de notre époque!

Quelles options a-t-on alors si on veut tout de même un rendement positif relativement décent? Plusieurs!

Quelles autres genre d’obligations existent?

Il ne faut pas oublier une chose importante, c’est qu’il n’y a pas qu’à Placements Québec où l’on peut acheter des obligations d’épargne! Mais surtout, il n’y a pas que celles du gouvernement, il y a aussi toutes les obligations municipales ou corporatives. Et c’est dans ces dernières qu’on trouvera le meilleur des 2 mondes.

Simplement parce qu’il est facile d’en acheter dont le niveau de risque est faible, marginalement supérieur à celui du gouvernement, mais qui possèdent des taux d’intérêt bien plus intéressants!

Vous pouvez trouver des obligations de plusieurs villes québécoises, comme Sherbrooke, Trois-Rivières, Québec, Châteauguay, etc. Pratiquement toutes les villes émettent des obligations pour se financer en partie. Et évidemment, les entreprises émettent également des obligations pour se financer.

Il n’y a pas qu’à Placements Québec où l’on peut acheter des obligations d’épargne!

Mais ces obligations sont plus risquées que celles du gouvernement, non?

Vous vous souviendrez de Détroit et me direz qu’une ville peut faire faillite. Et qu’une entreprise aussi. D’accord. Mais si les gouvernements ne font pas faillite comme les entreprises, ils peuvent tout de même faire des défauts de paiement et ne pas respecter leurs obligations. Bonjour la Grèce.

Bref, tout possède un risque. Mais il y a moyen de diluer ce risque, sans se casser la tête. Simplement en utilisant l’invention la plus ennuyeuse et éprouvée du siècle que tout le monde connaît: la diversification.

Comprendre le risque de ses obligations

Ne nous mettons pas la tête dans le sable : toute obligation possède un risque. Il n’y a pas de risque zéro. Le risque de défaut de paiement. Celui de voir les taux monter pendant que notre taux est fixe. Le risque de liquidité. Le risque politique…

There is no such thing as a free lunch.

Pour mieux connaître l’obligation qui vous convient, on doit sortir l’émotion de vos pensées et laisser entrer l’objectivité. Le risque, ça se calcule. Et les cotes de crédit en sont d’excellents indicateurs. Celle du Québec établie par Standard & Poor’s est présentement de A+, celle du Canada AAA. USA : AA+. Si vous êtes confortables avec celles-ci, il n’y a aucune raison d’être plus craintif avec des entreprises qui possèdent approximativement la même!

Ne nous mettons pas la tête dans le sable : toute obligation possède un risque. Il n’y a pas de risque zéro.

Alors, quelles obligations choisir? Combien acheter d’obligations différentes? 1, 5, 10? Sur 1 an, 5 ans, 10ans? Quelles villes, quelles entreprises? Personnellement, je ne perds pas mon temps à chercher et assembler des obligations ici et là pour ensuite les gérer. Moi j’aime quand c’est simple. Et complet. Et facile.

J’utilise la facilité d’achat et le très faible cout de gestion des Fonds négociés en bourses (FNB ou ETF en anglais) qui assemblent des portefeuilles d’obligations, diversifient le risque, sélectionnent les villes et entreprises selon leur cote de crédit et qui peuvent être vendus/achetés en tout temps.

Ainsi, je peux choisir un seul produit qui regroupe tout ce dont j’ai besoin. Et surtout, avec des très faibles frais de gestions.

Des obligations pour tous les goûts!

Des obligations à court terme avec des cotes de crédits solides? Le FNB ZCS vous donne 3,13% de rendement annuel net (frais de gestion inclus) alors que vous vous trouvez à prêter de l’argent à des entreprises comme la Banque TD, BMO, Manulife, Desjardins, etc. En optant pour des obligations à plus long terme, vous obtiendrez un léger premium totalisant 3,85% de rendement net avec le FNB ZLC. Vous pouvez opter pour des formules plus stables dans le temps avec CBO (2,78%).

Vous préférez regarder du côté américain? Nul besoin d’aller au bureau de change, on peut trouver des obligations américaines, en dollars canadiens, transigées sur le TSX. Simplicité. Si vous voulez être protégé lorsque le dollar canadien remontera, vous voudrez opter pour les produits vous protégeant du taux de change (hedging), comme ZIC (2,87%) ou XIG (2,62%). Mais si vous êtes de ceux qui pensent que la chute n’est pas terminée, un produit sans couverture comme ZIC-U (2,91%) vous conviendra mieux.

Je peux choisir un seul produit qui regroupe tout ce dont j’ai besoin. Et surtout, avec des très faibles frais de gestions.

Il est également possible d’obtenir un meilleur rendement en se dirigeant vers des obligations avec des cotes de crédits un peu plus faibles, communément appelées High Yield Bonds ou Junk Bonds. Cependant, la plus-value de rendement comparée aux obligations aux meilleures cotes s’est beaucoup amenuisée depuis la baisse et le maintien des faibles taux directeurs. Ceci fait en sorte qu’on n’est pas payé bien bien plus pour le risque supplémentaire pris. XHB (3,8%) vous exposera à des entreprises canadiennes, telles que Enbridge, Loblaw, Rogers et Telus. Vous pourrez obtenir des obligations américaines en vous tournant vers ZHY (5,25%) ou CHB (5,36%).

Pendant ce temps, les obligations du Canada et des provinces vous donneront un maigre 1,99% avec le FNB XGB. Considérant que l’inflation au Canada était en juin de 1,5%, une seule chose à dire : Ridicule.

Cela fait donc un bon bout de temps que j’ai laissé tomber les obligations du gouvernement du Québec ou du Canada. C’était bien en 1998 quand j’avais 16 ans et que la plupart de mes choix étaient orientés par la publicité à la télévision et que je ne connaissais pas grand chose à rien. Mais ça, c’était un autre millénaire. Et bien franchement, à voir le site web de Placements Québec aujourd’hui, l’absence totale de contenu, de support en ligne, de calculateurs, de conseils, etc. ; il semble être vraiment resté dans l’autre millénaire. Avec tous les outils de courtage en ligne à notre disposition aujourd’hui, ce n’est plus du tout un choix naturel. Et surtout, pas très rentable!

Une petite note pour ceux qui restent quand même frileux des marchés boursiers et préfèrent encore les obligations. Assurez-vous au moins que l’argent que vous y investissez fructifie à un rendement supérieur à celui de l’intérêt de vos dettes, comme votre hypothèque. Si c’est le cas, alors ne vous pressez pas à la rembourser! Pour ma part, à 2% de taux hypothécaire il est bien plus rentable de rembourser seulement le minimum à ma caisse, parce que je fais plus d’argent en prêtant de l’argent à la TD, la RBC ou la CIBC!

Note : Je possède des positions sur les titres CBO et ZCS. Je n’ai pas l’intention de modifier ou prendre d’autres positions prochainement.

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L’investissement en bourse est idéal pour les Milléniaux https://www.sepayerenpremier.com/investir-en-bourse-est-ideal-pour-les-milleniaux/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=investir-en-bourse-est-ideal-pour-les-milleniaux https://www.sepayerenpremier.com/investir-en-bourse-est-ideal-pour-les-milleniaux/#comments Tue, 21 Jun 2016 17:06:49 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=298 Investir en se protégeant des risques à court terme, c’est limiter sa capacité à s’enrichir. Avec le temps et le potentiel devant eux, les Milléniaux ont toute la latitude pour investir en bourse l’esprit en paix. Voyez pourquoi les produits financiers liés aux mouvements des marchés sont idéaux pour eux. [...]

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Investir en se protégeant des risques à court terme, c’est limiter sa capacité à s’enrichir. Avec le temps et le potentiel devant eux, les Milléniaux ont toute la latitude pour investir en bourse l’esprit en paix. Voyez pourquoi les produits financiers liés aux mouvements des marchés sont idéaux pour eux.

Notre génération a déjà vécu son lot de crise financière et de confiance depuis le tournant du millénaire. La bulle technologique avec les Nortel de ce monde, puis la Grande Dépression de 2007-2008 et la chute des marchés de la bourse, le tout parsemé d’Enron et de Lehman Brothers. Et présentement on ne peut dire que le portrait est plus radieux; taux d’intérêt négatif dans plusieurs pays, la chute des cours du pétrole, la récession technique du Canada en 2015, l’incertitude chinoise, le lent déclin des Japonais, le huard au plancher, le Grexit, le Brexit, Justin Bieber…

On ne peut pas dire que ça respire l’enthousiasme quand on regarde les nouvelles économiques ou son portefeuille. Ces craintes actuelles, jumelées au passé, en amène donc plus d’un à jouer de prudence, à sortir son côté conservateur quand vient le temps de penser à ses épargnes, ses investissements.

C’est une erreur. Fondamentale. Period.

Si je peux comprendre les causes de la genèse de ce réflexe, il n’en demeure pas moins qu’il doit être déconstruit. Combattu. Anéanti. Pour la simple et bonne raison qu’il plafonne notre richesse à long terme et limite notre capacité à s’enrichir. S’il y a une chose qu’on ne veut pas, c’est bien se mettre les 2 pieds dans le ciment à 20-30ans. Ça va peser lourd et nous ralentir toute notre vie. Mais pourquoi alors entendons-nous partout parler de protéger son capital, de faire attention aux risques des marchés, de se prémunir contre la baisse des cours de la bourse, blablabla?

Bien simplement parce que les conseils en matière de placement que l’on entend dans les médias ne s’adresse pas au Milléniaux.

 

Les conseils de placement médiatisés ne sont pas développés pour notre génération.

Mais pour qui le sont-ils alors? Surprise, surprise… Les Boomers. Encore et toujours. De par notre poids démographique et économique, jumelés à l’entrée seulement récente de notre cohorte sur le marché du travail, nous ne sommes pas un groupe cible de consommateurs de produits financiers. Les médias économiques parlent très peu de ce qui touche la dynamique financière ou d’épargne spécifiques à notre génération. Nous sommes alors envahis par le bruit ambiant d’une situation qui ne nous concerne pas.

Je peux comprendre que ça en devienne mélangeant. Mais ne nous laissons pas leurrer.

C’est vrai que les Boomers ont maintenant besoin de protéger leur capital. Ils sont à 5-10 ans de la retraite, certains sont déjà dedans. Ils n’ont pas la possibilité, ou le temps, de voir leurs actifs significativement baisser en bourse et attendre qu’ils remontent. La Grande Dépression de 2007 a été un signal d’alarme pour plusieurs. Si une autre crise financière, même petite, devait se produire cela pourrait être dévastateur pour ceux qui n’ont pas été prudents. Ils ont besoin de leur argent bientôt, si ce n’est tout de suite.

Les Boomers sont des Décaisseurs. Tout le contraire de nous.
Nous sommes des Accumulateurs.

Nous sommes loin, très loin d’avoir besoin de cet argent. La retraite c’est même encore intangible pour beaucoup d’entre-nous. Dans 25, 30, 35 ans peut-être. En 2050? Qui sait? Je n’en suis même pas sûr moi-même. Et bien franchement je ne me sens pas obligé [je n’ai pas envie] de me décider d’une date. Qui d’entres-nous l’avons fait? Personne.

Alors si plus ou moins 5 ans nous laisse aussi stoïque qu’un chevreuil sur la 20 la nuit, pourquoi avoir peur et s’inquiéter de ce qui pourrait se passer sur les marchés de la bourse cette saison? Ou l’année prochaine. Ou dans 5 ans. Ça ne sert à rien de s’inquiéter. On a 1, 2, peut-être même 3 cycles économique devant nous. Quand bien même que les marchés rechuteraient de 40% en 2017, ça ne va rien changer à notre vie parce que l’on n’a pas besoin de cet argent maintenant.

Protéger son capital à un cout

Un cout des plus énorme quand on a 20-30 ans. Le cout de l’opportunité. Quand on protège son capital, on se ferme à la possibilité de rendements élevés. Notre capacité d’enrichissement est par définition plafonnée. C’est le courtier qui ramasse l’excédent. Pourtant, c’est cet excédent qui fait toute la différence du monde sur un horizon de 30 ans en investissement.

Mais je fais quoi si mes placements chutent en bourse alors? Je panique et je m’inquiète en attendant patiemment que tout remonte?

Mais non, on continue à épargner, à investir. On profite de la situation. Quand les marchés de la bourse chutent c’est l’occasion d’acheter à rabais, de profiter de cette opportunité justement. D’accumuler.

Comme tout le monde j’ai vu la bourse canadienne s’en aller partout, sauf vers le haut en 2015. Que faire alors quand tu as 33 ans et que tu vois ton avoir net chuter de 15% en 2 semaines? Tu deviens plus défensif et tu te réorientes sur des investissements plus sécuritaires afin de te protéger de la prochaine chute? JA-MAIS. Ce n’est pas sous-optimale faire ça, c’est la pire chose à faire. La. Pire.

Quand tout chute, ce que l’on doit voir ce n’est pas la peur, c’est l’opportunité. Le moment où tout est en vente à la bourse, pas cher pas cher. Un vrai Boxing Day.

Continuons à accumuler notre épargne. À investir constamment sur les marchés, à la baisse comme à la hausse. À ne pas se fermer de porte. Continuons à se donner le plus de potentiel de gain à long terme. Ne tombons pas dans le panneau de la sécurité qui coute chère. Oublions les produits financiers à capital garanti ou protégé. Nous n’en avons pas besoin. Les fluctuations court terme, le battage médiatique, les gros titre de journaux : ce sont des écrans de fumée.

La peur c’est irrationnelle.

La peur ça fait vendre.

N’achetons pas la peur.

Saisissons les opportunités.

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Le 3 ne fonctionne plus https://www.sepayerenpremier.com/le-3-ne-fonctionne-plus/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-3-ne-fonctionne-plus https://www.sepayerenpremier.com/le-3-ne-fonctionne-plus/#comments Fri, 27 May 2016 10:29:01 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=119 On a assurément reçu des conseils de finances de la part d’un parent. Rempli d’honnêteté et de bonne volonté. Ce qui leur a réussi, l’expérience du vécu, de l’éprouvé. Mais sous le couvert de l’expérience passée se trouve des images figées dans le temps, des réflexes, des contextes qui ne [...]

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On a assurément reçu des conseils de finances de la part d’un parent. Rempli d’honnêteté et de bonne volonté. Ce qui leur a réussi, l’expérience du vécu, de l’éprouvé. Mais sous le couvert de l’expérience passée se trouve des images figées dans le temps, des réflexes, des contextes qui ne sont plus.

Il est important de se rappeler qu’à 25-35 ans, ils ne baignaient pas du tout la même dynamique socio-économique que la nôtre. Sans être nécessairement simple, la planification était beaucoup plus linéaire. Tu n’avais pas besoin d’étudier longtemps pour travailler. Tu commençais à recevoir un revenu d’emploi dans la début vingtaine. Pas de mise de fond pour une maison provenant du REER. Pas de CELI. Pas de REEE. Pas de courtage direct. Un fond de pension. La retraite à 65 ans comme objectif. De l’inflation à qui mieux mieux.

Un emploi, un compte-chèque et un REER. Merci, bonsoir.

Une autre époque.

Aujourd’hui la retraite ce n’est plus un objectif. Au mieux, c’est un état. Bien sûr on va la prévoir, mais ce ne sera pas un amas de projets reportés. On ne va pas réaliser les projets qu’on aime dans 30-35 ans. On va les faire dès que l’on peut. Tantôt si possible. On ne prononce plus de phrase commençant pas « À ma retraite, je vais [insérer ici un voeux réalisé trop tard] ». On est ailleurs.

On consomme différemment, nos relations sociales ne sont plus les mêmes, on repense notre rapport au travail. Mais pendant ce temps, on continuerait à magasiner et acheter des produits financiers avec une approche du temps de Distribution aux consommateurs? Ce ne serait pas être très conséquent avec soi-même.

On les connait les ingrédients du plan financier nos parents. Cotiser à son REER tôt – Rencontrer son conseiller financier à la banque – Choisir des fonds communs de placement – Voir son comptable pour les impôts – Ne pas investir soi-même en bourse – La p’tite caisse – Steak – Blé d’inde – Patate.

Ah bon.

Faut avouer que ça ne respire pas l’actualité pour une société qui a changé. Pourtant, cela a fait la job diront-ils. Peut-être. Un fil RCA aussi ça a fait la job. Rien n’empêche que les 2 sont aux mieux des pis-aller de nos jours. Tu auras beau nourrir des aspirations, être indépendant d’esprit, vouloir vieillir différemment, développer des projets qui te sont propres, laisser devant toi quelque chose d’unique, si tu fais tout ça avec des vieux outils, des vieux réflexes, l’image sortira grise. Assurément.

N’empêche qu’on les entend tous ces conseils qui datent d’une autre époque et on doute. On les écoute, on s’interroge. Souvent quelque chose sonne faux n’est-ce pas?

« Mon gars, les obligations du gouvernement, c’est la chose la plus sûre que tu ne peux pas avoir. Quand j’avais ton âge cela a protégé mon capital et m’a permis d’économiser pour une maison ». OK. Et quand j’entends à la télévision que l’inflation est plus élevée que mon rendement, la suite des choses c’est quoi? Mettre la télévision au 2 ou au 3?

« Mon neveu, ta maison c’est ce que tu as de mieux pour t’enrichir. J’ai acheté ça à ton âge en 1985 et as-tu vu combien ça vaut aujourd’hui? ». Tu peux être sûr que je l’ai vu le prix. C’est ça que je vais payer, moi. De peine et de misère. Clairement, tu vas t’enrichir.

On a le droit de développer une approche spécifique à notre mode de vie et à nos objectifs. Obtenir de vrais outils personnalisés, ça doit aller de soi. Ils devraient être disponibles en temps réel, peu importe où tu es, adaptés à ton style de communication. Et surtout, beaucoup moins couteux qu’il y 5 ou 10 ans.

Devoir payer 2-2.5% de frais de gestion, accompagné d’une rencontre annuelle : ce n’est pas normal. Ce n’est plus normal.

On a droit à plus. On a droit à mieux. Mais la plupart des banques ne te donneront probablement pas ces outils de prime abord. Tu devras les demander. Peut-être les exiger. Peut-être t’en aller. Mais une chose est sure, c’est qu’il n’y a plus lieu de se faire dire par un conseiller que c’est comme ça dans l’industrie de la finance.

Laquelle industrie au juste? La sienne ou la nôtre?

Parce que oui, aujourd’hui il y en plus qu’une.

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