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Investissement Archives - Se Payer En Premier https://www.sepayerenpremier.com/category/investissement5/ Le blog des finances personnelles pour les Milléniaux Mon, 09 Apr 2018 15:50:32 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.2 https://i0.wp.com/www.sepayerenpremier.com/wp-content/uploads/2018/02/cropped-Icone-site-web-Feb2018.jpg?fit=32%2C32&ssl=1 Investissement Archives - Se Payer En Premier https://www.sepayerenpremier.com/category/investissement5/ 32 32 111249166 Investis dans la santé, améliore ta productivité https://www.sepayerenpremier.com/sante-et-productivite-pme-sunlifeqc/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=sante-et-productivite-pme-sunlifeqc https://www.sepayerenpremier.com/sante-et-productivite-pme-sunlifeqc/#comments Tue, 03 Oct 2017 18:00:01 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=618 Beaucoup de gens m’écrivent pour avoir des conseils sur comment mieux gérer leurs finances et s’enrichir. Même ceux qui ont leur propre entreprise! Une dentiste, un concessionnaire auto, un chasseur de têtes, une optométriste, un restaurateur; tout un éventail diversifié! Et la première chose que je leur demande : est-ce [...]

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Beaucoup de gens m’écrivent pour avoir des conseils sur comment mieux gérer leurs finances et s’enrichir. Même ceux qui ont leur propre entreprise! Une dentiste, un concessionnaire auto, un chasseur de têtes, une optométriste, un restaurateur; tout un éventail diversifié! Et la première chose que je leur demande : est-ce que tu investis dans ton monde?

Qu’est-ce que tu veux dire?

[facepalm]

Tu sais, ce qui fait que ton entreprise peut être une entreprise : tes employés. La base de ta productivité!

Tu n’iras jamais aussi loin que si tu emmènes des gens avec toi. Alors quand la Financière Sun Life Québec m’a invité à une conférence sur la santé et la productivité au travail afin d’en apprendre plus, il fallait que j’y aille. Je devais être là. Car le capital humain, c’est incontournable : c’est là où tout le monde s’enrichit collectivement!

Parce qu’ils sont comme toi tes employés. Ils ont les mêmes enjeux de la Vie que les tiens. Et comme gestionnaire en santé, je le vois tous les jours. Un avec une polyarthrite rhumatoïde à 35 ans, l’autre avec des maux de dos chroniques, ou en épuisement professionnel, le dernier qui ne sait plus par quel bout prendre ses dettes, ou celui qui fait comme si tout allait bien, mais, dans sa tête, non.

Ils se reconnaissent. J’en connais. Tu les connais.

Investis dans ton équipe!

Ce serait se tromper que de penser que ces problèmes restent à la maison. Ils ne disparaissent pas entre 9 et 5. On a tous notre ombre, même au bureau. Si à la maison ils ont leur famille, l’autre 50% de leur temps actif ils font équipe avec qui? Tu ne peux pas passer tant de temps à te démener à attirer et trouver les meilleurs pour ensuite t’arrêter là.

Quand j’entends Robert Dumas, président de la Financière Sun Life Québec, dire que 55 % de tes employés se présentent au travail avec une maladie chronique, et que 44 % subissent du stress financier au travail, lui et moi on voit la même chose : deux personnes qui ont un défi à relever – ton employé, et toi.

Tu as besoin de ton monde, et ils ont besoin de toi.

Tu dois être un leader à l’écoute et flexible. Les gens ont besoin de ta reconnaissance et de savoir que tu t’adaptes à leur réalité.

Parce que, tu le sais bien, notre génération veut plus qu’un chèque de paie. On n’est pas devenu des gestionnaires ou des entrepreneurs juste pour l’argent. On voulait des défis, se réaliser, vivre une expérience. Tes employés aussi veulent la même chose. Et ceux que tu essaies de recruter aussi.

Si tu n’investis pas, ça va te coûter cher!

Un employé aux prises avec un problème financier va consacrer jusqu’à 13 % de son temps au travail pour le régler. 1 heure sur 7 où il sera payé sans travailler! Du temps où il est stressé et où ta business est au neutre…

Les problèmes de santé mentale que tu ne résous pas parce que tu n’en ressens pas le besoin, eh bien je t’annonce qu’ils te coûtent près de 2,4% de ta masse salariale!

Et je ne te parle pas des journées d’absences qui s’accumulent ou des congés de maladie qui peuvent s’étirer. De tes meilleurs qui seront absents près de 2 semaines par année, sans compter leurs vacances!

Je ne peux pas m’empêcher de me dire que ton entreprise serait tellement plus productive avec des employés en santé, dans leur corps, leur tête et leurs poches!

Si on prenait tous ces enjeux en amont?

Des solutions pour toutes les situations

Si tu t’assurais que leur avenir financier était plus enviable? Oui, tu peux les aider à mieux gérer leurs finances personnelles, comme en tenant des ateliers de formation ou des séminaires par des conseillers. Leur donner des outils concrets pour améliorer leurs finances ou les aider dans leur budget, ça fait une énorme différence. Un régime collectif d’épargne-retraite, ce n’est pas un luxe! Pendant que les 3/4 des travailleurs ne savent pas combien ils auront besoin pour la retraite, 4 employés sur 5 pensent que c’est aussi ta responsabilité de les aider!

Rappelle-toi que c’est ton énergie qui donne le tempo et façonne l’atmosphère de ton entreprise. Fais en sorte que tes employés aient l’opportunité de bouger ou de prendre le temps de bien manger. Les activités offertes ou même organisées par eux sont de puissants stimulants et motivateurs. Le team-building en plus!

Quand viendra le moment où ils auront besoin de support pour remettre leur santé sur pied, il faut que tu aies un parachute pour eux. Tu ne peux pas être no show dans un moment important de leur vie. Les 3/4 de tes employés s’attendent à avoir un régime de soins de santé. Personne ne veut être pris au dépourvu, alors ce n’est pas étonnant de savoir qu’un employé sur deux changerait d’emploi pour en obtenir un.

J’ai même été étonné en jasant avec Robert Dumas d’apprendre que près de la moitié de notre génération serait prête à payer plus pour avoir de meilleurs avantages sociaux! Tu ne peux pas aller dans l’autre direction et en faire l’économie. Entoure-toi d’un partenaire qui va pouvoir t’offrir ces outils!

Évidemment que les solutions seront différentes selon que tes employés sont dans un bureau, un restaurant, ou sur le terrain. Sois flexible, demande-leur ce qu’ils veulent. Écoute, sois créatif. Tu la comprends ton entreprise. Et tu comprends mon opinion aussi.

Vas-y, parle-leur santé financière. Intéresse-toi à leur santé physique et mentale. Donne-leur du support, des régimes de santé, des programmes d’aide, des avantages sociaux, de la sécurité, un avenir financier.

Ils vont apprendre, être moins stressés et plus en santé. Et surtout plus heureux.

Ils vont accomplir plus, avoir une meilleure productivité, rester, et même venir dans ton équipe! Tu vas être plus heureux.

Car la santé de tes employés, dans les faits, c’est un actif de productivité pour toi.

Investis dedans tous les jours!

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Nos 3 stratégies pour épargner 57 000$ en 1 an https://www.sepayerenpremier.com/3-strategies-epargner-57-000-en-1-an/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=3-strategies-epargner-57-000-en-1-an https://www.sepayerenpremier.com/3-strategies-epargner-57-000-en-1-an/#comments Thu, 14 Sep 2017 02:24:49 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=570 On veut tous s’enrichir. Que ce soit pour atteindre l’indépendance financière, réaliser des projets d’envergure, quitter le rat race, etc. Mais épargnes-tu vraiment au maximum de tes capacités? 57 000$. C’est ce que ma conjointe et moi avons épargné cette année! Je te parle de nos 3 stratégies pour épargner! [...]

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On veut tous s’enrichir. Que ce soit pour atteindre l’indépendance financière, réaliser des projets d’envergure, quitter le rat race, etc. Mais épargnes-tu vraiment au maximum de tes capacités? 57 000$. C’est ce que ma conjointe et moi avons épargné cette année! Je te parle de nos 3 stratégies pour épargner!

Quand on s’est acheté une nouvelle maison l’année dernière, on s’était dit que l’on devrait faire un peu plus attention à nos finances pour un certain temps. Il y a tellement de frais et de dépenses inattendus qui peuvent survenir et on ne voulait pas se faire surprendre. Sortir 5K$ d’un coup pour des droits de mutation, ça fesse!

Alors on a révisé notre budget, nos dépenses, nos revenus, ce qui était nécessaire, ce qui l’était moins, ce que l’on voulait, ce que l’on pouvait, ce que l’on devait… Après 1 an, on a fait le constat : nous avons overshooté. Big. Time. Plus riche de 57 000$! Plus de 50% d’épargne! 12 mois positifs!

Je pourrais vomir des chiffres pendant des heures, mais je trouvais qu’un graphique résumé serait plus parlant, et intéressant!

J’entends déjà certains penser que pour s’enrichir de 57 000$ en 1 an il faut bien avoir un emploi qui paie au moins 100K$ par année. Que c’est seulement pour les privilégiés. Les déjà riches. Le 1% même.

Non.

Ma famille est celle que tu peux généralement t’imaginer. La nôtre, l’autre, le voisin, celle de ton beau-frère. Quand on se regarde dans un graphique de Statistiques Canada, on est beige.

Deux parents, 3 enfants, 2 voitures, une maison en banlieue, 83K$ de revenu familial, des soupers et du ménage à faire, des couches à changer, des soupers entre amis, des sorties de famille, du gazon à couper, du binge watch à faire, etc.

Mais alors comment un archétype de classe moyenne a pu épargner plus de 50% de son revenu familial brut, sans manger du Kraft diner tous les soirs ou vivre dans une roulotte? Épargner, ça ne vient pas tout seul, mais ce n’est pas aussi compliqué que l’on pense. Surtout, épargner ce n’est pas reporter des projets. C’est en fait exactement là où ils commencent!

Commençons par le début.

Dépenser moins pour épargner (duh!)

Je ne vais pas te conter de menteries, réussir à épargner ça veut dire, en premier de tout, moins dépenser. Mais pas se priver. Seulement reconnaître que tu n’as pas besoin de tout ce que le marketing et l’industrie de la création de besoins te proposent tous les jours.

Pas besoin d’une nouvelle piscine plus chaude, d’une nouvelle auto plus bluetooth ou d’un nouveau lave-vaisselle plus de n’importe quoi. Du linge d’enfant emprunté qui va être trop petit dans 6mois-1an, c’est bien correct. L’ensemble de vaisselle hérité de ma grand-mère et mon frigo du cégep font toujours parfaitement l’affaire. Je n’ai pas besoin de remplacer ma vieille tondeuse qui date de 1989, elle se répare encore très bien.

On n’a pas idée de la quantité de petites (et grosses!) choses que l’on remplace/achète ici et là en se disant qu’on est dû pour du neuf. Si on prend le temps de s’arrêter 2 minutes pour réfléchir avant de faire un achat, on réalise assez rapidement que la grande majorité d’entre eux ne sont pas essentiels. Et s’en rendre compte, c’est le nerf de la guerre. Même les 20$ ici et 100$ là ont un impact majeur sur notre capacité à épargner.

Si on avait écouté les commentaires qu’on nous fait, on aurait changé notre bonne vieille Corolla 2003 il y a belle lurette pour la version douche 2018. On en a effectivement les moyens. Mais on n’en a pas besoin. On garde le cap avec des voitures qui coûtent moins de 100$/mois chacune, entretien/assurances inclus, vs les 400$/mois d’un seul modèle neuf juste pour les paiements au concessionnaire.

Quand notre sécheuse nous a lâché, on n’a pas changé la laveuse et les tiroirs en même temps. On avait besoin d’une nouvelle sécheuse, pas d’un nouvel ensemble qui s’agence avec un décor d’American Beauty pour notre salle de bain de sous-sol. Couleur discontinuée et mismatch? Bel essai Whirlpool, mais je suis un daltonien qui a juste besoin d’avoir du linge propre.

Alors c’est si difficile moins dépenser pour épargner? En repensant quelques dépenses classiques de ménage le temps d’un seul paragraphe, je viens de nous trouver 10K$ facile pour une seule année. Et je peux même ajouter une autre couche de 5K$ en gérant efficacement l’alimentation et l’épicerie de la famille. Du restaurant aux lunchs, les Canadiens dépensent en moyenne 10K$ par année par famille. Nous: la moitié. +15K$.

Arrêtez d’acheter des choses tout le temps, pour tout, pour rien, parce que c’est normal, parce que tu n’as pas le temps, parce que tu as bien le droit de te gâter, parce que tu le vaux bien

Ton travail, ton temps et ton argent valent bien plus que du rêve packagé dans trop d’emballage de plastique.

Épargner avec de l’argent gratuit

Ok, alors la roue de l’enrichissement a commencé à tourner en dépensant moins. Mais à moins d’aller vivre dans un 1 ½ de demi-sous-sol à Greenfield Park et manger uniquement des toasts, nous n’irons pas bien bien plus loin. Et nous voulons aller plus loin. Et moi je suis un peu paresseux aussi. J’ai besoin de quelque chose d’autre qui va pousser la roue pour moi.

L’État est prêt à le faire à notre place, ce serait fou de dire non. C’est si simple en plus! On a accumulé 15K$ d’économies, c’est le temps de se reposer et laisser le gouvernement bonifier le tout.

15K$ qui s’en vont dans les REER, et non chez LG et Toyota, ça nous produit un remboursement d’impôt. +6K$

15K$ de moins comme revenu imposable, ça nous donne 300$ par mois de plus comme Allocation canadienne pour enfant et de Soutien aux enfants. +3 600$

Du 9 600$, on en prend 7 500$ pour cotiser dans un REEE, ce qui nous donne 3 375$ de subventions et 700$ de bons d’études. +4 075$

Un beau total de plus de 13 500$!

L’air de rien, mais on vient presque de doubler nos économies annuelles. Sans trop se forcer, on en est déjà à un grand total de 28 500$ d’économies pour l’année. Pendant ce temps là, une laveuse/sécheuse payée trop cher ferait toujours juste bien laver du linge. Et une nouvelle auto, point A à point B. Pas plus pas moins.

Si j’ajoute la balance des autres subventions fédérales et provinciales que l’on reçoit en plus de nos salaires, mais qu’on ne dépense pas : +12K$. Ça devient un peu indécent j’en conviens, mais je n’invente rien ici, c’est la réalité fiscale dans laquelle on vit. Cette réalité dit que plus ton revenu familial est faible, plus l’État te subventionne.

Épargner permet de cotiser à un REER, qui permet alors de baisser ton revenu familial, donc de payer moins d’impôt, en plus de bénéficier d’un paquet de subventions bonifiées, qui permettent à leur tour d’épargner plus…

Tu la vois la roue qui tourne? La Grande Roue je veux dire.

Si tu veux faire tourner la tienne, tes impôts sont incontournables. Tu veux voir comment on a fait les nôtres cette année? Tous les détails sont là —> 12 000$ en remboursement d’impôt.

Faire travailler ton argent, c’est aussi épargner

Certains me diraient que je pourrais m’arrêter là et que ça serait suffisant. Mais je me répète, je suis paresseux. J’ai travaillé pour mon argent, j’ai récolté celui gratuit, maintenant ça me prend celui qui va travailler pour moi. Pas question qu’il dorme dans mon matelas ou une obligation d’épargne du gouvernement.

Bonjour la bourse!

Un compte de courtage en ligne à très faible coût, qui comprend tous nos CELI, REER et REEE, fait parfaitement le travail. En investissant dans seulement 6 fonds négociés en bourse qui miment les marchés, je nous assure une diversification d’actifs, répartis à travers le monde, des frais de gestion minimes et une simplicité de gestion de portefeuille totale.

Tous les mois j’investis l’argent épargné, plus les dividendes accumulés. Marchés à la hausse ou à la baisse, Trump ou Kim Jong-Un, Irma ou Brexit, euphorie ou nouveau sommet, peu importe. (J’ai cherché un évènement mondial heureux cette année que je pourrais écrire, et je n’ai rien trouvé…) Ce qui importe c’est d’investir constamment, fréquemment, simplement, froidement. 10 minutes par mois, c’est tout ce que ça prend.

Ensuite, pendant que je me lève avec les yeux collés pour aller travailler et gagner de l’argent, je sais que l’on a de l’argent qui lui ne se repose pas et travaille sans arrêt, 24/24 pour nous. Ça aussi c’est de l’épargne.

À la fin de l’année, on est toujours content quand on regarde son portefeuille. Cette année il nous a fait un sourire à +8K$.

1 000$, 5 000$, 10 000$, ou 57 000$. Épargner et réussir à ta mesure.

Bien sûr que ce n’est pas possible pour tout le monde de réussir à épargner des sommes si importantes en une seule année. Pour être honnête, je vais être le premier étonné si l’année prochaine on réussit à s’enrichir du même ordre. Mais ce qui compte réellement ce n’est pas le montant absolu; c’est d’être en mouvement. De prendre la bonne direction, de savoir que tu joues toutes tes cartes et d’améliorer ton jeu constamment.

On ne change pas ses réflexes du jour au lendemain. Mais une chose qui est simple et claire, c’est que ceux que tu vois avec des bébelles neuves tout le temps, ils veulent avoir l’air riches. Mais dans les faits, ils sont fort probablement plus pauvres que toi. En plus d’être stressés.

Quand je les regarde avec du recul, la laveuse/sécheuse agencée de mon voisin, et la voiture neuve de l’autre, bien je ne les trouve pas belles ou pratiques.

Je les trouve tristes.

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Les obligations d’épargne du gouvernement? Non merci. Il y a mieux! https://www.sepayerenpremier.com/obligations-du-gouvernement-non-merci/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=obligations-du-gouvernement-non-merci https://www.sepayerenpremier.com/obligations-du-gouvernement-non-merci/#comments Sat, 30 Jul 2016 13:15:31 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=415 On a parfois besoin de trouver un refuge sécuritaire pour son argent. Mais avec les taux d’intérêt tellement faibles, moins l’inflation, notre argent en sécurité dans des obligations perd en fait de la valeur tous les jours. Voyons où on peut trouver des obligations plus payantes, mais quand même sécuritaires. [...]

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On a parfois besoin de trouver un refuge sécuritaire pour son argent. Mais avec les taux d’intérêt tellement faibles, moins l’inflation, notre argent en sécurité dans des obligations perd en fait de la valeur tous les jours. Voyons où on peut trouver des obligations plus payantes, mais quand même sécuritaires.

L’époque des faibles taux d’intérêts

Nous sommes dans un cycle économique où la croissance est relativement anémique en Occident. Afin de stimuler l’investissement (entre autres) les gouvernements ont alors maintenu, ou poussé, leurs taux directeurs vers des planchers historiques. La Banque du Canada affiche un taux dérisoire de 0,5%. Des pays comme la Suisse, le Danemark ou le Japon possèdent même des taux directeurs négatifs. Des gens paient pour prêter leur argent! Sérieux.

Le bon côté c’est lorsque vient le temps d’aller négocier son hypothèque. Je suis convaincu que vous avez du être bien content de voir le taux que votre banque ou votre caisse vous offrait. Comparé aux 8-10-12% que nos parents payaient, il y a de quoi se réjouir. Et il y a encore de la place à la négociation malgré tout! En tirant l’oreille à ma caisse, ma courtière hypothécaire est même allée nous chercher un taux de 2%! Une perle qui a fait la différence. Je dois l’avouer, mon père était jaloux.

Des gens paient pour prêter leur argent! Sérieux.

Ceci dit, c’est bien le fun quand on négocie son hypothèque, ou un prêt personnel, mais le plaisir s’arrête pas mal ici. Pourquoi? Parce que les rendements des placements sécuritaires, dont les fameuses obligations d’épargne du gouvernement, ne rapportent pratiquement plus rien. Leurs taux d’intérêt souvent plus faibles que l’inflation font en sorte que l’argent que l’on y place perd de la valeur au net. Chaque. Jour. C’est un désastre pour beaucoup de portefeuilles, particulièrement les fonds de pension, dont certains sont légalement tenus de détenir des obligations. Les faibles taux d’intérêt pour stimuler l’économie ont comme effet indirect de mettre une pression énorme sur ces fonds et leurs épargnants.

Pourquoi posséder des obligations?

Bien franchement, il n’y a vraiment pas beaucoup de raisons aujourd’hui pour notre génération.

C’est pour cela que je maintiens très peu de capital dans des placements sécuritaires, comme les obligations. À 33 ans, avec un horizon de placement de plus de 15 ans, les actions et les fonds négociés en bourse sont mes meilleurs amis. Je n’ai pas les moyens de mettre 20-30-40% de mon portefeuille dans des rendements à la limite de l’inflation. Je suis donc majoritairement exposé aux équités.

L’adage que l’on connaît par coeur, qui veut qu’un portefeuille équilibré soit 40% Revenus fixes :: 60% Actions, est aujourd’hui largement obsolète. Surtout pour notre génération qui a tout le temps devant elle pour investir en bourse l’esprit tranquille. C’était bien le fun dans les années ’80-’90, mais là ça ne fonctionne plus. Si vous cherchez à obtenir 8% de rendement dans votre portefeuille en moyenne et que les obligations vous offrent 1% après les frais, vos actions devront produire 12,6% de rendement, après les frais. Année après année. Bonne chance! Vous croyez que c’est possible que vos actions vous donnent ce rendement? Pourquoi alors détenir des obligations?

Je n’ai pas les moyens de mettre 20-30-40% de mon portefeuille dans des rendements à la limite de l’inflation. Je suis donc majoritairement exposé aux équités.

Mais bon, on a tout de même toujours une partie de notre portefeuille que l’on voudrait conserver à l’abri des fluctuations boursières à court terme. Que ce soit pour la mise de fonds prochaine d’une maison, l’argent de la prochaine auto à remplacer, un fond d’urgence, le capital REEE quand nos enfants approchent de la fin du secondaire, etc. Moi je les utilise surtout comme compléments à mes liquidités quand les marchés commencent à être surévalués. Communément appelé le cash position. Quand les obligations ressemblent presque à un cash position, ça donne une assez bonne idée du pathétisme des taux d’intérêt de notre époque!

Quelles options a-t-on alors si on veut tout de même un rendement positif relativement décent? Plusieurs!

Quelles autres genre d’obligations existent?

Il ne faut pas oublier une chose importante, c’est qu’il n’y a pas qu’à Placements Québec où l’on peut acheter des obligations d’épargne! Mais surtout, il n’y a pas que celles du gouvernement, il y a aussi toutes les obligations municipales ou corporatives. Et c’est dans ces dernières qu’on trouvera le meilleur des 2 mondes.

Simplement parce qu’il est facile d’en acheter dont le niveau de risque est faible, marginalement supérieur à celui du gouvernement, mais qui possèdent des taux d’intérêt bien plus intéressants!

Vous pouvez trouver des obligations de plusieurs villes québécoises, comme Sherbrooke, Trois-Rivières, Québec, Châteauguay, etc. Pratiquement toutes les villes émettent des obligations pour se financer en partie. Et évidemment, les entreprises émettent également des obligations pour se financer.

Il n’y a pas qu’à Placements Québec où l’on peut acheter des obligations d’épargne!

Mais ces obligations sont plus risquées que celles du gouvernement, non?

Vous vous souviendrez de Détroit et me direz qu’une ville peut faire faillite. Et qu’une entreprise aussi. D’accord. Mais si les gouvernements ne font pas faillite comme les entreprises, ils peuvent tout de même faire des défauts de paiement et ne pas respecter leurs obligations. Bonjour la Grèce.

Bref, tout possède un risque. Mais il y a moyen de diluer ce risque, sans se casser la tête. Simplement en utilisant l’invention la plus ennuyeuse et éprouvée du siècle que tout le monde connaît: la diversification.

Comprendre le risque de ses obligations

Ne nous mettons pas la tête dans le sable : toute obligation possède un risque. Il n’y a pas de risque zéro. Le risque de défaut de paiement. Celui de voir les taux monter pendant que notre taux est fixe. Le risque de liquidité. Le risque politique…

There is no such thing as a free lunch.

Pour mieux connaître l’obligation qui vous convient, on doit sortir l’émotion de vos pensées et laisser entrer l’objectivité. Le risque, ça se calcule. Et les cotes de crédit en sont d’excellents indicateurs. Celle du Québec établie par Standard & Poor’s est présentement de A+, celle du Canada AAA. USA : AA+. Si vous êtes confortables avec celles-ci, il n’y a aucune raison d’être plus craintif avec des entreprises qui possèdent approximativement la même!

Ne nous mettons pas la tête dans le sable : toute obligation possède un risque. Il n’y a pas de risque zéro.

Alors, quelles obligations choisir? Combien acheter d’obligations différentes? 1, 5, 10? Sur 1 an, 5 ans, 10ans? Quelles villes, quelles entreprises? Personnellement, je ne perds pas mon temps à chercher et assembler des obligations ici et là pour ensuite les gérer. Moi j’aime quand c’est simple. Et complet. Et facile.

J’utilise la facilité d’achat et le très faible cout de gestion des Fonds négociés en bourses (FNB ou ETF en anglais) qui assemblent des portefeuilles d’obligations, diversifient le risque, sélectionnent les villes et entreprises selon leur cote de crédit et qui peuvent être vendus/achetés en tout temps.

Ainsi, je peux choisir un seul produit qui regroupe tout ce dont j’ai besoin. Et surtout, avec des très faibles frais de gestions.

Des obligations pour tous les goûts!

Des obligations à court terme avec des cotes de crédits solides? Le FNB ZCS vous donne 3,13% de rendement annuel net (frais de gestion inclus) alors que vous vous trouvez à prêter de l’argent à des entreprises comme la Banque TD, BMO, Manulife, Desjardins, etc. En optant pour des obligations à plus long terme, vous obtiendrez un léger premium totalisant 3,85% de rendement net avec le FNB ZLC. Vous pouvez opter pour des formules plus stables dans le temps avec CBO (2,78%).

Vous préférez regarder du côté américain? Nul besoin d’aller au bureau de change, on peut trouver des obligations américaines, en dollars canadiens, transigées sur le TSX. Simplicité. Si vous voulez être protégé lorsque le dollar canadien remontera, vous voudrez opter pour les produits vous protégeant du taux de change (hedging), comme ZIC (2,87%) ou XIG (2,62%). Mais si vous êtes de ceux qui pensent que la chute n’est pas terminée, un produit sans couverture comme ZIC-U (2,91%) vous conviendra mieux.

Je peux choisir un seul produit qui regroupe tout ce dont j’ai besoin. Et surtout, avec des très faibles frais de gestions.

Il est également possible d’obtenir un meilleur rendement en se dirigeant vers des obligations avec des cotes de crédits un peu plus faibles, communément appelées High Yield Bonds ou Junk Bonds. Cependant, la plus-value de rendement comparée aux obligations aux meilleures cotes s’est beaucoup amenuisée depuis la baisse et le maintien des faibles taux directeurs. Ceci fait en sorte qu’on n’est pas payé bien bien plus pour le risque supplémentaire pris. XHB (3,8%) vous exposera à des entreprises canadiennes, telles que Enbridge, Loblaw, Rogers et Telus. Vous pourrez obtenir des obligations américaines en vous tournant vers ZHY (5,25%) ou CHB (5,36%).

Pendant ce temps, les obligations du Canada et des provinces vous donneront un maigre 1,99% avec le FNB XGB. Considérant que l’inflation au Canada était en juin de 1,5%, une seule chose à dire : Ridicule.

Cela fait donc un bon bout de temps que j’ai laissé tomber les obligations du gouvernement du Québec ou du Canada. C’était bien en 1998 quand j’avais 16 ans et que la plupart de mes choix étaient orientés par la publicité à la télévision et que je ne connaissais pas grand chose à rien. Mais ça, c’était un autre millénaire. Et bien franchement, à voir le site web de Placements Québec aujourd’hui, l’absence totale de contenu, de support en ligne, de calculateurs, de conseils, etc. ; il semble être vraiment resté dans l’autre millénaire. Avec tous les outils de courtage en ligne à notre disposition aujourd’hui, ce n’est plus du tout un choix naturel. Et surtout, pas très rentable!

Une petite note pour ceux qui restent quand même frileux des marchés boursiers et préfèrent encore les obligations. Assurez-vous au moins que l’argent que vous y investissez fructifie à un rendement supérieur à celui de l’intérêt de vos dettes, comme votre hypothèque. Si c’est le cas, alors ne vous pressez pas à la rembourser! Pour ma part, à 2% de taux hypothécaire il est bien plus rentable de rembourser seulement le minimum à ma caisse, parce que je fais plus d’argent en prêtant de l’argent à la TD, la RBC ou la CIBC!

Note : Je possède des positions sur les titres CBO et ZCS. Je n’ai pas l’intention de modifier ou prendre d’autres positions prochainement.

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L’investissement en bourse est idéal pour les Milléniaux https://www.sepayerenpremier.com/investir-en-bourse-est-ideal-pour-les-milleniaux/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=investir-en-bourse-est-ideal-pour-les-milleniaux https://www.sepayerenpremier.com/investir-en-bourse-est-ideal-pour-les-milleniaux/#comments Tue, 21 Jun 2016 17:06:49 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=298 Investir en se protégeant des risques à court terme, c’est limiter sa capacité à s’enrichir. Avec le temps et le potentiel devant eux, les Milléniaux ont toute la latitude pour investir en bourse l’esprit en paix. Voyez pourquoi les produits financiers liés aux mouvements des marchés sont idéaux pour eux. [...]

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Investir en se protégeant des risques à court terme, c’est limiter sa capacité à s’enrichir. Avec le temps et le potentiel devant eux, les Milléniaux ont toute la latitude pour investir en bourse l’esprit en paix. Voyez pourquoi les produits financiers liés aux mouvements des marchés sont idéaux pour eux.

Notre génération a déjà vécu son lot de crise financière et de confiance depuis le tournant du millénaire. La bulle technologique avec les Nortel de ce monde, puis la Grande Dépression de 2007-2008 et la chute des marchés de la bourse, le tout parsemé d’Enron et de Lehman Brothers. Et présentement on ne peut dire que le portrait est plus radieux; taux d’intérêt négatif dans plusieurs pays, la chute des cours du pétrole, la récession technique du Canada en 2015, l’incertitude chinoise, le lent déclin des Japonais, le huard au plancher, le Grexit, le Brexit, Justin Bieber…

On ne peut pas dire que ça respire l’enthousiasme quand on regarde les nouvelles économiques ou son portefeuille. Ces craintes actuelles, jumelées au passé, en amène donc plus d’un à jouer de prudence, à sortir son côté conservateur quand vient le temps de penser à ses épargnes, ses investissements.

C’est une erreur. Fondamentale. Period.

Si je peux comprendre les causes de la genèse de ce réflexe, il n’en demeure pas moins qu’il doit être déconstruit. Combattu. Anéanti. Pour la simple et bonne raison qu’il plafonne notre richesse à long terme et limite notre capacité à s’enrichir. S’il y a une chose qu’on ne veut pas, c’est bien se mettre les 2 pieds dans le ciment à 20-30ans. Ça va peser lourd et nous ralentir toute notre vie. Mais pourquoi alors entendons-nous partout parler de protéger son capital, de faire attention aux risques des marchés, de se prémunir contre la baisse des cours de la bourse, blablabla?

Bien simplement parce que les conseils en matière de placement que l’on entend dans les médias ne s’adresse pas au Milléniaux.

 

Les conseils de placement médiatisés ne sont pas développés pour notre génération.

Mais pour qui le sont-ils alors? Surprise, surprise… Les Boomers. Encore et toujours. De par notre poids démographique et économique, jumelés à l’entrée seulement récente de notre cohorte sur le marché du travail, nous ne sommes pas un groupe cible de consommateurs de produits financiers. Les médias économiques parlent très peu de ce qui touche la dynamique financière ou d’épargne spécifiques à notre génération. Nous sommes alors envahis par le bruit ambiant d’une situation qui ne nous concerne pas.

Je peux comprendre que ça en devienne mélangeant. Mais ne nous laissons pas leurrer.

C’est vrai que les Boomers ont maintenant besoin de protéger leur capital. Ils sont à 5-10 ans de la retraite, certains sont déjà dedans. Ils n’ont pas la possibilité, ou le temps, de voir leurs actifs significativement baisser en bourse et attendre qu’ils remontent. La Grande Dépression de 2007 a été un signal d’alarme pour plusieurs. Si une autre crise financière, même petite, devait se produire cela pourrait être dévastateur pour ceux qui n’ont pas été prudents. Ils ont besoin de leur argent bientôt, si ce n’est tout de suite.

Les Boomers sont des Décaisseurs. Tout le contraire de nous.
Nous sommes des Accumulateurs.

Nous sommes loin, très loin d’avoir besoin de cet argent. La retraite c’est même encore intangible pour beaucoup d’entre-nous. Dans 25, 30, 35 ans peut-être. En 2050? Qui sait? Je n’en suis même pas sûr moi-même. Et bien franchement je ne me sens pas obligé [je n’ai pas envie] de me décider d’une date. Qui d’entres-nous l’avons fait? Personne.

Alors si plus ou moins 5 ans nous laisse aussi stoïque qu’un chevreuil sur la 20 la nuit, pourquoi avoir peur et s’inquiéter de ce qui pourrait se passer sur les marchés de la bourse cette saison? Ou l’année prochaine. Ou dans 5 ans. Ça ne sert à rien de s’inquiéter. On a 1, 2, peut-être même 3 cycles économique devant nous. Quand bien même que les marchés rechuteraient de 40% en 2017, ça ne va rien changer à notre vie parce que l’on n’a pas besoin de cet argent maintenant.

Protéger son capital à un cout

Un cout des plus énorme quand on a 20-30 ans. Le cout de l’opportunité. Quand on protège son capital, on se ferme à la possibilité de rendements élevés. Notre capacité d’enrichissement est par définition plafonnée. C’est le courtier qui ramasse l’excédent. Pourtant, c’est cet excédent qui fait toute la différence du monde sur un horizon de 30 ans en investissement.

Mais je fais quoi si mes placements chutent en bourse alors? Je panique et je m’inquiète en attendant patiemment que tout remonte?

Mais non, on continue à épargner, à investir. On profite de la situation. Quand les marchés de la bourse chutent c’est l’occasion d’acheter à rabais, de profiter de cette opportunité justement. D’accumuler.

Comme tout le monde j’ai vu la bourse canadienne s’en aller partout, sauf vers le haut en 2015. Que faire alors quand tu as 33 ans et que tu vois ton avoir net chuter de 15% en 2 semaines? Tu deviens plus défensif et tu te réorientes sur des investissements plus sécuritaires afin de te protéger de la prochaine chute? JA-MAIS. Ce n’est pas sous-optimale faire ça, c’est la pire chose à faire. La. Pire.

Quand tout chute, ce que l’on doit voir ce n’est pas la peur, c’est l’opportunité. Le moment où tout est en vente à la bourse, pas cher pas cher. Un vrai Boxing Day.

Continuons à accumuler notre épargne. À investir constamment sur les marchés, à la baisse comme à la hausse. À ne pas se fermer de porte. Continuons à se donner le plus de potentiel de gain à long terme. Ne tombons pas dans le panneau de la sécurité qui coute chère. Oublions les produits financiers à capital garanti ou protégé. Nous n’en avons pas besoin. Les fluctuations court terme, le battage médiatique, les gros titre de journaux : ce sont des écrans de fumée.

La peur c’est irrationnelle.

La peur ça fait vendre.

N’achetons pas la peur.

Saisissons les opportunités.

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5 façons de bien utiliser son retour d’impôt https://www.sepayerenpremier.com/5-facons-de-bien-utiliser-son-retour-dimpot/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=5-facons-de-bien-utiliser-son-retour-dimpot https://www.sepayerenpremier.com/5-facons-de-bien-utiliser-son-retour-dimpot/#comments Thu, 02 Jun 2016 13:58:57 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=221 On aime tous recevoir un retour d’impôt. La tentation est grande de voir cette rentrée d’argent comme un cadeau, une plus-value inattendue avec laquelle on pourrait se gâter. Voyons comment on peut plutôt saisir cette excellente occasion pour s’enrichir un peu plus ou faire un pas supplémentaire vers l’indépendance financière. [...]

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On aime tous recevoir un retour d’impôt. La tentation est grande de voir cette rentrée d’argent comme un cadeau, une plus-value inattendue avec laquelle on pourrait se gâter. Voyons comment on peut plutôt saisir cette excellente occasion pour s’enrichir un peu plus ou faire un pas supplémentaire vers l’indépendance financière.

Payer ses dettes

21 247$. Un chiffre que je n’arrive toujours pas à Quoi faire avec son retour d’impôt-Insert1comprendre, trimestre après trimestre. Inconcevable. Surréel. C’est la dette moyenne à la consommation trainée chaque jour par le Canadien moyen (1). L’hypothèque en sus… Et les intérêts s’accumulent de jour en jour. A-t-on besoin d’expliquer que rembourser ce fardeau avec son retour d’impôt devrait être la priorité #1.

Décider de reporter à plus tard cette obligation, ça revient à s’appauvrir soi-même, proactivement.

Payer ses dettes avec son retour d’impôt. Maintenant.

Garnir son fond de prévoyance

Plus d’une personne sur 2 vit de paie en paie (2) et une seule semaine de retard de celle-ci la mettrait sous pression financière. Une sur 4 ne saurait trouver 2000$ en moins d’un mois si un imprévu arrivait, e.g. maladie, toit qui coule, amende, nouvelle transmission d’auto. Une incertitude constante qui empoisonne, légèrement mais constamment, le quotidien.

Invivable.

Afin de faire face aux imprévus, la règle du pouce veut que l’on conserve en liquidité près de 3 mois de salaire net. Un objectif peut-être ambitieux pour certains. Un mois de salaire serait déjà une amélioration notable. Les bénéfices de ce coussin financier sont majeurs et multiples. Il permet d’assurer une fluidité des paiements sans se soucier de la synchronisation de ses revenus, le fameux cashflow; il évite de se sentir étouffé en période de pointe (e.g. Noël, rentrée scolaire, taxes annuelles); et permet de parer aux oublis des paiements automatique et des chèques qu’on a oublié avoir signés.

La vraie richesse ce n’est pas un nouveau spa, une nouvelle voiture ou la gâterie impulsive du moment parce que tu le vaux bien. C’est l’absence de stress financier. C’est de savoir que peu importe ce qui arrive demain, on a un parachute. Avoir un plan B, le temps de trouver une solution C, D ou E.

Utiliser son retour d’impôt pour avoir l’esprit tranquille. C’est un peu ça aussi l’indépendance financière.

Cotiser au REEE de ses enfants

J’ai consacré un billet tout entier au REEE qui est un véhicule de placement en or pour notre génération. Le meilleur véhicule pour s’enrichir à long terme, quand on est parent. Pour chaque dollar cotisé, les gouvernements fédéral et provincial en ajouteront 30% supplémentaire. Un investissement qui croitra à l’abri de l’impôt et qui sera imposé selon les revenus des enfants, non pas des parents, le jour où ils débuteront des études post-secondaires. Aussi bien dire qu’aucun impôt ne devra être payé. Quoi faire avec son retour d’impôt-Insert2Puis tout le capital qui revient dans les poches des parents. Les fonds n’ont pas à être dédiés spécifiquement aux paiements des études, mais à n’importe quel projet. Un outil indispensable pour les parents d’aujourd’hui et qui permet d’enrichir toute la famille.

Bâtir son avenir et celui de ses enfants dès que l’on peut : c’est ici que commence l’équité inter-générationnelle.

Rembourser son hypothèque ou cotiser à son REER (ex aequo)

Posséder une dette hypothécaire n’est pas un fardeau aussi négatif qu’une dette à la consommation. C’est une bonne dette. S’il peut en exister une. Mais beaucoup poussent la note de ce motto en achetant une maison trop chère, avec un simple 5% de mise de fond et avec des paiements mensuels à la limite de leurs capacités. Si vos paiements hypothécaires vous empêchent de dormir, rien ne sert de se rassurer en faisant de l’astrologie avec les paroles de Stephen Poloz. Un paiement directement sur le capital de votre propriété avec votre retour d’impôt vous permettra de diminuer les mensualités suivantes, tout en économisant de l’intérêt à long terme.

Une bouffée d’air qu’il ne faut pas laisser passer.

Par contre, si votre remboursement hypothécaire est sous-contrôle, c’est alors une excellente occasion d’économiser pour le long terme. Cotiser à son REER avec son retour d’impôt, permet en même temps de générer un futur retour d’impôt l’année prochaine. Et on continue, d’année en année en faisant tourner la roue!

Il peut être aussi intéressant de ne pas choisir et de plutôt faire les deux. Cotiser à son REER en cours d’année et utiliser son retour d’impôt pour rembourser du capital sur son hypothèque. Win-Win.

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Investir en immobilier avec seulement 1000$ https://www.sepayerenpremier.com/investir-en-immobilier-avec-seulement-1000/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=investir-en-immobilier-avec-seulement-1000 https://www.sepayerenpremier.com/investir-en-immobilier-avec-seulement-1000/#comments Thu, 12 May 2016 18:00:41 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=35 J’ai longtemps pensé à m’acheter un immeuble à revenu. Le jour où je me suis mis à payer un loyer à un propriétaire je me suis dit “C’est moi qui paie son hypothèque et ça ne m’appartiendra jamais”. Faut dire que quand tu as 18 ans, 500$/mois pour un 5 [...]

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J’ai longtemps pensé à m’acheter un immeuble à revenu. Le jour où je me suis mis à payer un loyer à un propriétaire je me suis dit “C’est moi qui paie son hypothèque et ça ne m’appartiendra jamais”. Faut dire que quand tu as 18 ans, 500$/mois pour un 5 1/2 tu trouves ça énorme. 500$ ça achète tout n’est-ce pas ? N’empêche, je regardais autour de moi dans la rue, je voyais des dizaines de plex partout où je marchais, en me disant que, pas plus fou qu’un autre, moi aussi je veux profiter de cette occasion de m’enrichir avec l’argent des autres. 3 000$ de revenu par mois pour un 6-plex, la grosse vie.

Je m’ennuie de ma naïveté du Cégep.

Évidemment, j’ai vieilli (à défaut de grandir) et j’ai commencé à réaliser tous les petits détails qui entourent un tel projet, pourtant si simple à première vue. Premièrement, devoir économiser 75-100K$ pour la mise de fond d’un plex dans lequel je n’habiterai pas, c’était déjà une grosse marche. Intuitivement, je reportais déjà le projet de plus de 10 ans avant même d’avoir commencé à y réfléchir sérieusement. Ça commençait bien. Mais ceux qui me connaissent savent que ce n’est pas cela qui m’arrêterait. Pour moi, attendre 10 ans, ce n’est pas reporter un projet. C’est le mijoter jusqu’à ce que la viande décolle de l’os toute seule pour être sûr qu’elle fonde sur la langue. Et à bien y penser, si je suis pour faire un investissement de près d’un demi-million de dollar, je suis mieux d’y réfléchir comme il faut un certain temps.

Je me suis donc mis à compiler tout ce dont je devais prévoir. J’ai établi des stratégies pour trouver des bons locataires et les remplacer au besoin. J’ai décidé que j’effectuerais moi-même l’entretien et les réparations (une compétence transversale essentielle dans la vie qu’on n’apprend clairement pas à l’école). J’ai construit d’innombrables fichiers Excel pour le suivi de la récolte des loyers, du paiement des taxes, des couts afférents et des pépins inconnus mais qui viendront. J’ai pensé au risque de prévoir les mauvaises créances et comment le gérer. Je me suis surpris à trouver intéressant de bien comprendre l’impôt qui s’y rattache. Fait du repérage de plex, des étude-cas.

Et puis sont venues mes recherches à la Régie du Logement. C’est là que j’ai décroché.

Ça ne devenait plus un investissement avec toutes ces contraintes législatives d’une autre époque. Je devenais ni plus ni moins qu’un simple gestionnaire de logement par procuration, au service de l’état. En assumant le risque et l’effort pour les autres. Qu’on me comprenne bien, mes locataires j’en aurais pris soin. Avec sérieux, diligence, flexibilité et innovation. Mais là, on m’offrait une croissance faible et contrôlée par décret, des contraintes dogmatiques, des processus administratifs incertains et longs et de la paperasse. Big. Time. Pas exactement l’idée que j’avais en tête pour la suite des choses, surtout après avoir investi 10 ans d’économies.

N’en déplaise, j’aime la brique et le ciment. S’il y a quelque chose qui reste, même quand tout part, c’est bien cela. Récession, déflation, chômage, rien n’y fait. Les gens ont toujours besoin de dormir quelque part. Inélastique. L’investissement défensif par excellence pour le jeune investisseur que je suis. Je n’allais certainement pas en rester là. Et…

J’ai trouvé. Les Real Estate Income Trust (REIT).

Le jour où j’ai découvert ce que ça mangeait en hiver, je me suis précipité chez Costco. C’était mieux encore que ce que je ne croyais.

Pas besoin de mise de fond. Pas besoin de s’endetter. Rien à gérer. Ni locataire, ni Régie, ni tuyau qui coule. Les REITs sont des entreprises qui oeuvrent exclusivement dans l’acquisition et la gestion de parc immobilier pour le compte de ses propriétaires ou de ses actionnaires. Et elles se transigent à la bourse. Joie. Ainsi, peu importe le montant disponible que j’avais pour investir, je pouvais le faire. Bien assis dans mon salon avec mon ordinateur.

J’ai commencé avec 1000$. Dès le premier mois j’ai commencé à bénéficier de revenu variant entre 4 et 9% de rendement annuel. En plus de l’appréciation en capital. Pas eu besoin d’attendre 10 ans, pour ensuite attendre encore 15-20-25 ans d’avoir payé l’hypothèque pour commencer à voir la couleur de mon argent.

Les REITs m’ont également permis de diversifier ma brique et mon ciment. Imagine, j’aurais mis 75-100K$, plus une dette, dans un seul plex, un seul actif immobilier, un seul quartier, une seule économie, une seule législation, avec un risque concentré de défaut de paiement avec seulement quelques locataires.

Maintenant, je peux dire que je suis assis bien confortable à la maison, sans dette d’un demi-million de dollars, à générer 6,5% de revenu annuel, avec un actif de parc immobilier diversifié et dispersé entre Toronto, Montréal, Vancouver, Calgary, le Texas, l’Arizona, l’Irlande et l’Allemagne. Je n’ai eu à commencer qu’avec 1000$. Dix ans plus tôt que prévu. Avec moins de difficulté. Et surtout, plus de temps pour tout le reste.

Ah oui, aussi.

Je ne paie pas d’impôt. Aucun.

Car, contrairement à un plex, les REITs ça se met dans un CELI.

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5 choses que ton conseiller financier ne te dit pas https://www.sepayerenpremier.com/5-choses-que-ton-conseiller-financier-ne-te-dit-pas/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=5-choses-que-ton-conseiller-financier-ne-te-dit-pas https://www.sepayerenpremier.com/5-choses-que-ton-conseiller-financier-ne-te-dit-pas/#comments Tue, 12 Apr 2016 18:00:17 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=41 Les frais de gestion de mes produits sont parmi les plus élevés du monde On le sait que nos services de télécommunications coutent chers comparés aux Américains ou au Européens. On est toujours fâché quand on se le fait reconfirmer. Si les gens lisaient et comparaient ce qu’ils paient en [...]

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Les frais de gestion de mes produits sont parmi les plus élevés du monde

On le sait que nos services de télécommunications coutent chers comparés aux Américains ou au Européens. On est toujours fâché quand on se le fait reconfirmer. Si les gens lisaient et comparaient ce qu’ils paient en frais de gestion pour leurs produits de placements; ils pleureraient. Le Canada affiche une moyenne de frais gestion parmi les plus élevées au monde. Les États-Unis : 1,42%. L’Allemagne: 1,22%. La Belgique: 0,99%. La Norvège: 1,62%. Moyenne: 1,29%.

Le Canada: 2,68%. Note MorningStar: F. (1)

C’est la culture bancaire canadienne dans laquelle nous vivons et sommes accoutumés. Et ce n’est pas près de changer (2)(3). On se dit que payer 2,68% par année, au lieu de 0,5%, si c’est pour se sauver du trouble (lequel au juste?), c’est rien.

Presque rien. Un infime minimum de 80K$ (net!) sur son bas5 choses que ton conseiller financier ne te dit pas-Insert1 de laine de retraite final de 170K$. Plus de 60% du rendement qui n’est pas dans tes poches. Travailler 1-2 ans de sa vie dans le vide.

Presque rien je te dis.

L’avènement du courtage en ligne (e.g. DISNAT, iTRADE, Qtrade, BMO InvestorLine) est l’une des plus grande démocratisation financière depuis le Dow Jones et te permet d’acheter pratiquement tous les mêmes produits, à une fraction des frais de gestion associés. Pourquoi s’en passer?

Payer des frais de gestion à un conseiller aujourd’hui, c’est comme allez au comptoir. Avec ton livret.

Je ne connais pas les marchés financiers

Si ton portefeuille est de moins de 200$K, ton rendez-vous ne sera pas avec un analyste de marché. Il ne te parlera pas des fluctuations du taux de change, de ce qu’il pense des matières premières, ou comment il croit qu’une stratégie défensive pourrait t’avantager.

Il va connaitre ses produits, certes. Mais pas, ou très peu, les conditions précises dans lesquelles ils évoluent. Ça revient à faire la moitié du travail. Et en investissement, la moitié ça revient à rien du tout. Un conseiller financier ça devrait pouvoir t’indiquer les perspectives d’un produit, son positionnement face aux autres, le contexte dans lequel il évolue, l’approche stratégique, tactique ou contrarienne qu’il possède, la place qu’il occupe dans ton portefeuille, etc.

Surtout, t’expliquer pourquoi celui-ci est plus adapté, en t’expliquant aussi les autres. L’information sur le prospectus et la petite barre indicateur de risque, tu peux la lire toi-même. Ce n’est pas ça le service que tu devrais recevoir.

La prochaine fois que tu iras à ta caisse, demande lui ce qu’il pense des perspectives du Portefeuille Diapason X relatif au Y considérant la débandade des matières premières comme le pétrole. Pourquoi le Portefeuille Diapason Y ne serait pas plus adapté aux conditions actuelles?

Regarde le dans les yeux. Prend le temps d’apprécier le silence malaisant. Ou les phrases vides. Au prix que ça coute. Demande lui ensuite comment il est rémunéré et à quoi sert le 2,5% de frais écrit en font 6 sur le prospectus.

80% du temps, je performe moins bien que le marché

Il est facile aujourd’hui d’acheter des titres qui suivent exactement un marché donné (e.g. TSX) pour aussi peu que 0,02% de frais de gestion. Le marché croît de 8%, tu as 8%. Il baisse de 7%, tu perds 7%. Avec sa gestion active de portefeuille, ton conseiller financier cherche à être meilleur que le marché. À le battre. Or, on l’oublie souvent mais les conseillers financiers font parti du marché.

En fait, les conseillers et analystes financiers sont le marché… Ils ne peuvent donc pas tous le battre. Les coureurs du marathon de Montréal ne peuvent pas tous finir au-dessus de la moyenne du temps de parcours. C’est mathématiquement impossible. Certains finissent bien avant, la plupart autour de la moyenne, d’autres en arrière. Mais à ce jeu le client perd plus souvent qu’autrement.

5 choses que ton conseiller financier ne te dit pas-Insert2En incluant les frais de gestion de leurs produits, 80% des conseillers financiers au Canada ont moins bien performé que l’indice du TSX lui-même en 2015. Malgré qu’ils travaillent activement, ils offrent un rendement net inférieur à un investissement passif (4)(5)(6).

Ils te diront que 2015 a été une année difficile pour les bourses du Canada. C’est vrai. Pour tout le monde. Donc le marché. Auquel tu dois te comparer. Le TSX a effectivement perdu 11,1% entre le 1er janvier et le 31 décembre 2015. 80% d’entres-eux t’ont donné un rendement encore plus inférieur. Et en moyenne, c’est comme ça d’année en année.

Une gestion active, au frais de gestion élevés, qui performent moins bien que le hasard.

Un dé brisé qui coute cher quoi.

Mon historique de rendement que je te présente à la même personnalité que ton fil d’actualité Facebook

Plus souvent qu’autrement, bien joyeux. À la bonne place, au bon moment, bien entouré, avec beaucoup de plaisir.  Ou, dans l’adversité, mais avec la bonne attitude pour affronter la suite, malgré les embuches. Il te raconte les beaux moments de sa journée, de son année.

C’est ce que l’on appelle le biais de confirmation. Tout le monde fait ça. On se rappelle de nos bons coups, on parle moins de nos mauvais coups. Les 3 fois où on s’est planté comptent généralement moins dans notre mémoire sélective que la fois où on avait raison.

Les produits qu’il te présentera auront généralement eux un bel historique, ou du moins supérieur au marché. Information inutile s’il en est une. Enrobée dans du cherrypicking.

La qualité d’un produit réside dans sa composition, expliquée et comprise dans le contexte actuel.

Le reste c’est du marketing.

Je te dis seulement le minimum que l’AMF m’oblige à divulguer

Et ce n’est déjà pas beaucoup. Il y vraiment encore place à amélioration. L’Autorité des Marchés Financiers (AMF) a effectivement appliqué des nouvelles règles de divulgations des intérêts et c’est pour le mieux. Mais la marche était haute et le demeure somme toute assez encore. Particulièrement parce que le mode de rémunération du courtier va varier d’un produit à l’autre. Ceci implique que 1) le conseiller à un biais propositionnel et 2) tu dois redemander à chaque produit présenté comment ton conseiller est rémunéré.

Poser des questions. Beaucoup de questions. D’où provient votre rémunération? Quel sont les frais associés à vos services? Pas de frais à l’achat ou annuel. C’est possible. Les frais à la sortie? Ah bien regarde donc.

Sa rémunération associée à un produit en dira beaucoup sur ceux qu’il préfère te proposer.

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Le REEE : La base de l’enrichissement familial https://www.sepayerenpremier.com/le-reee-la-base-de-lenrichissement-familial/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-reee-la-base-de-lenrichissement-familial https://www.sepayerenpremier.com/le-reee-la-base-de-lenrichissement-familial/#comments Fri, 01 Apr 2016 19:35:13 +0000 http://www.sepayerenpremier.com/?p=52 L’éducation est le meilleur investissement que l’on peut faire dans la vie. Nos enfants devront alors s’endetter, ou nous devrons couvrir pour eux cette dépense qui augmente toujours. Grâce au REEE vous pouvez financer les études de vos enfants avec l’argent du gouvernement, tout en dégageant de l’épargne pour vous! [...]

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L’éducation est le meilleur investissement que l’on peut faire dans la vie. Nos enfants devront alors s’endetter, ou nous devrons couvrir pour eux cette dépense qui augmente toujours. Grâce au REEE vous pouvez financer les études de vos enfants avec l’argent du gouvernement, tout en dégageant de l’épargne pour vous!

On aimerait tous être payé à ne pas travailler. Du moins, de temps en temps. Ne serait-ce que pour amortir les fois où on doit mettre les bouchés doubles. L’effort minimal pour un gain maximal est une culture de la Vie depuis sa naissance. Je ne suis pas un apôtre de la paresse, loin de là, mais j’aime cueillir la pomme qui est devant mes yeux avant de penser à aller à l’épicerie. Qui plus est quand je fais parti des artisans qui engraissent ledit pommier. Pourquoi s’en passer? Je veux dire, de l’argent gratuit ça se prend bien il me semble. Pourtant beaucoup passe à côté. Beaucoup. Et du plus facile d’entre tous en plus.

Alors que j’en étais à écrire ce billet sur le REEE (Régime Enregistré d’Épargne Étude), Le boeuf qu'on prend pour une grenouille - Insert1Stéphanie Grammond de La Presse en faisait de même. Un texte très intéressant qui vaut la peine d’être lu et suite auquel j’ai finalement décidé de pousser la réflexion immédiatement plus loin. Car au fond, bâtir le fondement de son patrimoine familial ça se fait dès le départ. En sortant de la chambre des naissances. Presque. Vous remplissez déjà des formulaires 8½x14 accoté à côté du cabaret à déjeuner, un de plus un de moins. D’accord, vous pouvez aller vous coucher un peu avant quand même. Mais de retour à la maison, même un, deux, cinq ans plus tard(!) ouvrir et cotiser à un REEE c’est le premier geste que vous pouvez poser pour le patrimoine global de vos enfants, de votre famille et de vous-même. C’est un peu le premier pas du marathon de l’indépendance financière. Celui qui donne le tempo au reste.

Et quoi de mieux pour agrémenter le tout qu’un calculateur-planificateur REEE avec lequel vous pourrez voir le détail de comment se construit cette base et l’adapter entièrement à votre propre situation familiale.

Le REEE est à la base de l’enrichissement du patrimoine

Ne vous fiez pas à son nom. Le REEE n’est pas un régime dédié à financer les études postsecondaires de vos enfants. Il sert à générer un revenu à vos enfants (ou à vous indirectement) lorsqu’ils seront aux études. La nuance est IM-MEN-SE. Particulièrement parce que cela veut dire que les revenus n’ont pas à être dédié à payer des frais de scolarité ou des livres, mais bien toute dépense que votre enfant (ou vous!) voulez bien faire. Vraiment n’importe qu’elle.

Il en ressort donc que le REEE est un véhicule d’épargne qui peut s’inscrire dans la stratégie de réalisation de plusieurs de vos projets à long terme. Les études postsecondaires (bien sûr!), mais également la retraite, le remboursement hypothécaire anticipé, les voyages, l’achat d’une maison secondaire, l’aide à un parent vieillissant, la création d’un fond de démarrage pour les enfants, etc.

Le boeuf qu'on prend pour une grenouille - Insert2Chaque projet à sa dynamique de financement et l’utilisation des différentes stratégies d’épargnes ou de remboursements n’est pas linéaire dans une vie. Quoiqu’on en dise. Le REEE peut par contre s’imbriquer à la base de presque tout et les possibilités sont énormes. J’en aborderai plusieurs dans des billets subséquents, dont notamment la bonification des cotisations REER avec l’argent du REEE, tout en payant pour les études de ses enfants.

Mais pour le moment on va se concentrer sur la base.

Que contient le REEE?

La mécanique ce n’est pas sexy. Enfin, un peu non? Quand vous verrez l’argent gratuit qui s’y trouve, vous changerez surement d’idée.

Les cotisations (votre argent de départ, l’investissement)

Chaque dollars cotisé en est un déjà imposé. Aucun retour d’impôt. C’est exactement comme cotiser à un CELI. Cet argent vous appartiendra toujours, elle ne sera jamais donnée/transférée à vos enfants. À la fin du régime, elles retournent dans vos poches, à la cenne près. Au complet.

Les subventions gouvernementales (La viande est ici)

20% minium d’Ottawa, versé à la fin du mois suivant la cotisation au REEE. Plus vite que pour l’assurance-emploi. C’est triste, mais c’est la vérité. Le jargon les appelle SCEE, Subvention Canadienne pour l’Épargne-Études.

À cela, Québec ajoute la moitié de ce qu’Ottawa verse. Là par contre vous pouvez compter attendre 12-18mois selon le moment de l’année où les cotisations sont faites avant d’en voir la couleur. Ceci parce que Québec attend votre déclaration de revenu d’Ottawa pour commencer à penser à calculer quelque chose… La belle affaire. Mais l’argent sera là, garanti. Ici on les nomme IQEE, Incitatif Québécois à l’Épargne-Études.

Cas classique pour un cotisant : 30% d’argent gratuit. Cet argent appartient à vos enfants et leur sera imposé au décaissement (Mais dans les faits non, et on verra comment une autre fois).

Le rendement (faire de l’argent sur celle du gouvernement, a-t-on déjà vu ça?)

Tout montant excédant la somme de vos cotisations et subventions. Il s’agit donc ici des gains en capitaux, des dividendes et des intérêts faits sur vos cotisations et les subventions du gouvernement (le 2e service de viande).

Cet argent appartient également à vos enfants et leur sera imposé au décaissement. (Encore une fois, on verra plus tard comment l’éviter).

Tableau 1 HQ

Encore de l’argent gratuit (pour certains)

Le 30% de subvention c’est un minimum. Si votre revenu familial net est égal ou inférieur à 90 563$, vous aurez droit à une subvention supplémentaire allant jusqu’à 15% (10% Ottawa, 5% Québec).

Ottawa peut également vous verser dans un REEE un Bon d’Étude du Canada (BEC) à hauteur de 100$/an, en plus de votre 30-45% de subvention, si vous recevez le Supplément  de la prestation nationale pour enfants.

Tableau2 HQ

Alors, combien ça coute envoyer un enfant à l’université?

Tout ça c’est bien le fun, mais ça ne dit pas grand chose sur comment/combien épargner pour arriver à payer les études postsecondaires de tes enfants. Vous pouvez développer la réponse spécifique à votre situation familiale et vos objectifs en utilisant le calculateur REEE. Tous les coefficients sont modulables selon vos besoins et vos perspectives.

Mais pour le bien de l’exercice ici disons prenons l’exemple d’une famille de 2 enfants (nés en 2014 et 2015), avec un revenu familial de 120K$. La classe moyenne quoi.

Premièrement, oubliez ce que les fonds Le boeuf qu'on prend pour une grenouille - Insert3collectifs de REEE (e.g. Universitas) vous indiquent. On se penche sur le projet en soi et ce qui touche au projet : ici l’éducation. Pas la Vie. Si vous faisiez l’épicerie en partie pour vos enfants et leur achetiez des nouveaux bas quand ils avaient 17ans, pourquoi faire de l’actuariat pour ceux que vous lui achèteriez quand il aura 18ans? Bien sûr vous voudrez vous assurer de pouvoir encore le faire aisément. Mais ça, ça se règle dans la gestion de patrimoine global, pas en imbriquant des couts morcelés de dépenses courantes dans un projet spécifique. Vous vivez en région et ils devront absolument partir en appartement : Projet spécifique. Ils vont s’acheter un cellulaire pour texter en buvant de la sangria. Dépenses courantes.

On ne prédit pas le futur, on anticipe l’avenir

Tableau3 HQ

Aujourd’hui dans l’ère post-Printemps Érable, le gouvernement augmente annuellement les frais de scolarité en fonction de l’inflation. Utiliser la cible d’inflation annuelle de la Banque du Canada, soit 2%, est un scénario de base probant pour connaître le montant nécessaire à accumuler dans le REEE, sans tomber dans des modèles mathématique sur-complexes pour les besoins ici. Mes amis économistes tombés de leur chaise, asseyez-vous je vous prie. Vous trouvez qu’il s’agit d’une surestimation, d’une sous-estimation? Vous voulez prendre en compte la valeur actuarielle du printemps érable 2 de 2031? Les coefficients de calculs sont toujours disponibles et modifiables selon vos propres prédictions dans le calculateur.

Donc, la jolie somme de 41 799,92$ à accumuler dans un REEE pour amener 2 enfants aujourd’hui âgé de 1 et 2 ans à la fin d’un Baccalauréat.

Combien mettre de côté par année, dès maintenant?

Ça va dépendre de votre agressivité en matière de placements. Assumons un rôle d’investisseur conservateur, qui paie trop de frais de gestion pour rien (comme la majeure partie des Canadiens) et ne bas pas l’indice de référence TSX (comme 80% des conseillers financiers en passant) : une estimation de 4% de rendement annuel net en moyenne.

Vous avez besoin de mettre de côté aussi peu que 590$/an/enfant dans un REEE.

Graphique1

Et vous ne paierez de votre poche que 48% du montant nécessaire à la réalisation de leur études postsecondaires.

Un petit prélude du niveau supérieur

Et si le REEE permettait de payer 0% du cout total réel des études? Et qu’on récupérait tout son capital investi à la fin? Alors qu’on est maintenant rendu potentiellement dans une braque d’imposition supérieure? Vous me voyez venir là.

Facile. Cotisez 385$ de plus/année/enfant. L’université gratuite et 33 150$ d’épargne qui revient comme un boomerang quand vos enfants étudient. On aime.

Graphique2

Certains passeront par-dessus tout cela en se disant que plutôt que de prioriser le REEE, ils pourraient cotiser plus et plus tôt à leur REER ou rembourser plus rapidement leur hypothèque; « Ça s’équivaut dans le long terme, c’est un choix comme un autre ». S’il y a une chose que les mathématiques nous apprennent depuis Euclide, c’est qu’il n’y a vraiment pas beaucoup de choses qui s’équivalent dans la vie. Clairement, on va s’en reparler.

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